De nos jours, l’informatique industrielle intervient au sein d’une foule de domaines. Il en est notamment ainsi en matière d’usinage ou nombre de pièces devant être au préalable découpées, le sont en réalité par une machine pilotée par un logiciel bien particulier.

Un logiciel de découpe à la pointe du progrès.

C’est par exemple le cas du logiciel Mastercam (qui n’en est pas à ses premiers pas puisque la version se trouvant actuellement sur le marché n’est autre que la sixième, laquelle peut être trouvée sous le vocable de Mastercam X6). La présentation des fonctionnalités est faite sur le site de la société 3IDM ici : http://www.3idm.fr/mastercam/

Grâce à ce type de logiciel, plus besoin d’une main d’œuvre spécialisée et par conséquent, souvent rare et onéreuse.
Ici, l’Homme n’a qu’à appuyer sur un bouton pour que la machine suive les directives du logiciel et fournisse la pièce demandée, parfaitement réalisée.

Mais plus encore que la garantie d’un meilleur rendement, Mastercam (à l’image des autres programmes similaires) se targue d’une autre alléchante prétention, laquelle pourra combler les ambitions des plus créatifs…

Une infinité de possibilités de projets.

A vrai dire (et comme cela a été dit précédemment), l’informatique industrielle intervient dans nombre de domaines, dont plus particulièrement celui de la mécanique.

Et c’est là qu’un programme comme Mastercam peut révéler tout son potentiel. En effet, il peut non seulement être utilisé pour découper une myriade de pièces précises et régulières. Grâce à lui, chaque pièce, même si elle est produite à grande échelle, sera semblable à un travail d’orfèvre.

Mais plus encore, associé à l’interface CATIA (laquelle n’est autre qu’un logiciel de modélisation 3D), il permet de découper une infinité de formes, tout droit sorties de l’imaginaire d’un concepteur chevronné…

Ainsi, grâce à l’alliance de ces deux utilitaires, la mécanique n’a plus comme limite que la seule imagination des modélistes et des concepteurs ! Parmi les perspectives économiques réjouissantes que permettent l’amélioration des logiciels on ne compte pas seulement un gain de productivité. En effet, rendre possible certaines manoeuvres ouvre le champ des possibles pour les créateurs et inventeurs. On engendre ainsi un cercle vertueux : la créativité pousse à l’innovation en matière de moyens de productions, qui a leur tour donnent de nouvelles idées aux créatifs. Certes cette mécanique n’est pas l’apanage de Mastercam ni même des logiciels dans leur ensemble, mais c’est en tout cas une de leur vertu indéniable.

Dès lors, qui peut dire de quoi elle sera faite à l’avenir ?

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